Alors oui, mais ça dépend.
Et c’est ce que nous explique The Conversation dans cet article.
On y apprend ainsi que les newsletters « se sont ainsi éloignées de leur objectif premier (objectif conatif) dont le but est avant tout de persuader leurs clients d’acheter leurs produits notamment au travers de l’utilisation de techniques promotionnelles ».
Oui, mais pourquoi faire évoluer les newsletters ? Et comment ?
En oubliant une règle couramment transmise, et en s’appuyant sur plusieurs objectifs par newsletter.
« Par exemple, cognitif, en informant les clients des dispositions mises en œuvre pour la poursuite de la relation commerciale (commande en ligne, livraison…) ; affectif, pour nouer des liens forts avec leurs clients en les divertissant ; ou encore sociétal en communiquant sur leurs actions de prévention et leurs contributions dans la gestion de la crise (fabrication de masques, gel hydroalcoolique…). »
Concrètement ?
C’est là que c’est très intéressant de lire The conversation : il s’agit d’un media indépendant qui travaille en collaboration avec des expert•es et des universitaires. Et qui s’appuie sur des études avant d’avancer certaines infos. Ici, l’étude intitulée Le contenu des communications relationnelles par email des enseignes : quelle perception par le consommateur ? révèle, attention spoiler, que « la communication comprenant l’emailing mixte (contenu
divertissant et commercial) obtient les perceptions les plus favorables ».
Le bilan est clair : « Nous encourageons donc vivement les enseignes à privilégier l’e-mail mixte car plus les consommateurs trouveront les communications par e-mail utiles et légitimes, plus ils auront une attitude favorable envers l’enseigne, et plus ils auront l’intention de poursuivre leur relation. »
Photo by John Schnobrich on Unsplash
Les chiffres clés de l’emailing en France en 2020
Nombre de Français•es se connectant chaque mois à leur boite mail : 42,2 millions
Taux de délivrabilité moyen : 99,3%
Taux d’ouverture moyen : 17,8%
Taux de clics moyen : 4,3%
Taux de retour sur investissement de l’email marketing : 28,5%
Taux de désabonnement moyen : 0,1%
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